Des milliers de sociétés offshore et l’identité d’utilisateurs de banques installées dans des paradis fiscaux révélés par une enquête. Précarité de l’anonymat et fragilité des structures offshore. A l’heure où le secret bancaire suisse et luxembourgeois n’est déjà plus qu’un souvenir (les banques de ces pays exigent aujourd’hui de leurs clients européens la preuve que les capitaux sont connus du fisc et ont subi leur régime fiscal), la possibilité de régularisation fiscale («DLU bis») prend tout son intérêt. Son coût est limité. L’avocat est un guide objectif pour prendre la juste décision et calculer les impôts réellement dus en cas de DLU bis.
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